Délicieuse Cacophonie – Victor Haïm
« On ne sait jamais ce que le passé nous réserve ! La belle histoire d’amour entre Jacob, violoniste sensible et bourré d’humour et Elke l’Allemande assaillie par un imaginaire étrange et perturbé semble lumineuse… Une passion n’est jamais sans fausses notes; ce qui arrive à ce couple est plus qu’une dissonance : une véritable cacophonie si impossible à assumer qu’elle engendre un dérapage irrémédiable. » Victor Haïm
La dissonance de ces deux âmes torturées sera finement édulcorée par Joshua Bell « Dance of blessed spirits », Shubert « Symphonie n° 4 », Horowitz « 2ème Rachmaninoff », Sibélius « Concerto of violon », Ravel « Tzigane », Menuhin « Violin Sonatas JS Bach », Beethoven « Final 5ème concerto », Wagner « Le crépuscule des dieux », Mendelssohn « Songe d’une nuit d’été », John Williams « La liste de Schindler »
Mots du metteur en scène :
Victor Haïm m’a offert un très beau bijou qui n’avait jamais été exposé.
Délicieuse Cacophonie. Avec Myriam Grélard et François Cracosky, deux perles de comédiens, il me suffisait de faire une mise en scène précise et minutieuse, dans les mots, les gestes et les lumières, de l’orfèvrerie.
La première lecture de la pièce a eu lieu le 27 Janvier 2014 au Théâtre du Vieux
Colombier par Simon Eine sociétaire honoraire de la comédie Française.
Lorsque l’auteur parle de sa pièce à Alain Illel, ce dernier est enthousiasmé.
Il lui propose deux comédiens Myriam Grélard et François Cracosky que Victor Haïm
a vus et appréciés sur scène notamment dans «La Visite», il accepte aussitôt.
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Crédit Photo ©Didier Duval